Formule, c’est à l’invitation de Rock en Seine, une collaboration originale entre The Shoes et Les Inrockuptibles.
Pour fêter, justement, la nouvelle formule cross canal du journal qui sera présentée en exclusivité et en avant-première à Rock en Seine. Une collaboration Inrocks/The Shoes qui tombait sous le sens : dès le début des années 2000, l’hebdomadaire a été parmi les premiers à suivre le parcours des deux Rémois Guillaume Brière et Benjamin Lebeau.
En 2014, les Shoes présentaient leur dernier album, Chemicals, au Festival des Inrocks à La Cigale, lors d’une création exceptionnelle. En 2015, The Shoes faisait la couverture de l’hebdo pour ce même Chemicals. Pour l’anniversaire de son festival, et pour lancer sa nouvelle formule papier, son nouveau site et son appli, Les Inrocks a proposé aux Shoes d’aller fouiller dans plus de trente ans de musique, pour un show son et lumière qui mobilisera les héros des Inrocks. Des Smiths à Daft Punk en passant par Björk et le Wu Tang, c’est trente ans de pop, de rock, d’électro et de hip hop qui vont s’entrechoquer sous la houlette des deux Shoes (et de guests très spéciaux), le dimanche 27 août.
The Shoes nous parlent de cette creation :
« Nous avons été très flatté et heureux que les INROCKS et Rock En Seine pensent à nous pour célébrer la nouvelle formule et l’anniversaire du mag! L’idée d’une sorte de « rétrospective » en musique et image est vite venue. Ce sera donc une sorte de DJ set réglé au cordeau qui couvre 30 ans de musique aux Inrocks. Une centaine de morceaux en 45 minutes! C’est un défi! En plus nous accompagnons le show avec une création video et lumière. Avec des images d archives et plein de surprise! Nous voulions absolument créer quelque chose de joyeux de jubilatoire et donner du plaisir aux gens! On clôture le festival cela doit être une fête! »
« Comment choisir les titres ? Il y a des évidences, des classiques inévitables! La question qu’on se pose à chaque fois est « est-ce Inrocks? » Il y a de très bons titres qui seraient cool à mettre mais qui à notre sens ne sont pas représentatifs du magazine. Et puis pour « faire rentrer » autant de morceaux on a des contraintes de tonalité et de tempo, il faut être malin! Mais c’est super ludique à mettre en place, ça nous amuse beaucoup! »